Conclusion
En un peu plus de deux ans,
Alain Zenner est parvenu à faire bouger des choses,
des gens, des mastodontes administratifs. Il a réveillé
des textes de loi oubliés et a relancé une
réflexion de fond sur la qualité de l'environnement
fiscal. Certes, il y a encore beaucoup à faire.
Mais une partie complexe et vitale de l'appareil de l'État
belge a retrouvé une dynamique. Ce mouvement touche
– positivement – le contribuable, certes,
quelle que soit son envergure financière, mais
il a aussi donné à des dizaines de milliers
de fonctionnaires des perspectives professionnelles plus
intéressantes, dans le cadre de cette nouvelle
culture fiscale qui a commencé à exister.
Enfin, la pègre sait que le confort relatif dont
elle jouissait auparavant dans notre pays a pris un sérieux
coup de vieux. C'est ce qu'on appelle, tout simplement,
du bon boulot.
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